Paris, le 19 septembre 19, 2024

Depuis des années. Michel Onfray sublime nos esprits avec ses mots. Le plus prolifique des écrivains français, de retour d’un voyage de sept jours au Japon, a réuni dans un ouvrage de 128 pages, quatre-vingt dix photos, et les illustre par le récit de cette semaine nipponne.

De cet xème ouvrage du philosophe, (lui-même a du mal à me le nombre exact de toutes ses publications), est née l’idée de faire voyager certaines des images dans des cadres et de les présenter au monde sur des murs. Après la rencontre avec Maïko Takenebu, propriétaire de la Galerie Kiyama, spécialisée dans l’art du pays du Mont Fuji, le projet est devenu réalité.

Je sais de source sûre que Michel Onfray ne parle, ni ne lit, ni n’écrit les hiragana, les katakana et les kanji. On peut imaginer que pour ce grand homme de mots, tant à l’écrit qu’en paroles, la situation peut-être un peu, disons, “frustrante”, quand il séjourne au pays du soleil levant. Ses photos ne seraient-elle sa façon à lui d’échanger directement avec ses amis japonais sans l’aide d’un interprète?

Et pourquoi sont-elles en noir et blanc? Il nous donne la réponse dans la vidéo ci-dessous — attention, le son n’est pas très bon. Mais n’oublions pas que Michel Onfray est toujours habillé en noir et blanc…

Note: le son n’est pas très bon. Il faut pointer l’oreille pour entendre le tout nouveau photographe qu’est en train de devenir Michel Onfray.

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